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    Vignettes Facebook pour la grève générale illimitée du communautaire !

    Depuis des années, le milieux communautaire fait face à des politiques néolibérales et des budgets d’austérité. Lorsque le gouvernement ne pelte pas dans notre cours les besoins en services de la population, il coupe nos financement ou refuse de les ajuster aux nouvelles réalités.

    Voici une série de vignettes visant à démystifier et promouvoir la grève générale illimité (rotative) dans le milieu communautaire.

    La campagne engagez-vous pour le communautaire nous invite à prendre des mandats de grève afin d’obtenir un meilleur financement. http://bit.ly/2ADslXx

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  • Les droits ça se défend !
    Communiqués

    Les droits ça se défend : les groupes reprennent la mobilisation!

    Les droits ça se défend : les groupes reprennent la mobilisation!

     

    Joliette, le 20 novembre 2017 – Les groupes du Comité des organismes en défense de droits de Lanaudière (CODDL), à l’instar de ceux des autres régions, amorcent une nouvelle ronde de mobilisation dans le cadre de la campagne Les droits ça se défend afin de dénoncer le sous-financement des organismes de ce secteur. « Les subventions des groupes en défense collective des droits n’ont pas augmenté depuis près de 10 ans. Pendant ce temps, le coût de la vie a grimpé de 17% », souligne Mylène Geoffroy, coordonnatrice au Mouvement d’éducation populaire autonome de Lanaudière et membre du CODDL.

     

    En octobre dernier, les tables régionales du MÉPACQ, financées en DCD, ont lancé un véritable cri d’alarme au premier ministre du Québec. « Des groupes sont forcés de réduire les heures de travail, et donc,les heures d’ouverture et les services. Le ministre François Blais, qui est responsable de notre financement, fait la sourde oreille à nos revendications, alors nous interpellons maintenant Philippe Couillard », explique Mylène Geoffroy du MÉPAL.

     

    Les organismes en défense collective des droits sont les chiens de garde des droits sociaux et économiques au Québec. Ils offrent un soutien essentiel aux personnes qui vivent des situations précaires comme des problèmes de logements, une perte d’emploi, un handicap, de la discrimination, etc. « Le sous-financement chronique de nos missions a des conséquences directes sur ces personnes. Le gouvernement doit nous financer adéquatement pour que nous puissions continuer de les soutenir et contribuer à trouver des solutions durables à toutes ces problématiques», poursuit Mylène Geoffroy.

     

    Pour un groupe comme l’Association des personnes handicapées visuelles de Lanaudière, les conséquences du sous-financement se font sentir au quotidien. « Nous sommes devenus il y a un an, un organisme à mandat régional et nos adhésions ont augmenté de 31%. En couvrant toute la région de Lanaudière, notre nouveau territoire de desserte est passé de 512 km² à 12 310 km² et nous n’avons reçu aucun rehaussement financier.  Je suis la seule ressource permanente à 4 jours par semaine, car c’est ce que nous permet notre budget. Compte tenu que je dois m’absenter du bureau de plus en plus pour des comités, tables de concertation, formations, ce sont les gens de mon organisme qui sont directement touchés. Il est clair que nous ne pourrons maintenir une telle cadence sans l’appui à la mission globale par notre bailleur de fonds. » raconte Mélanie Boisvert, coordonnatrice de l’organisme.

     

    La campagne Les droits ça se défend demande au gouvernement du Québec un investissement de 40 millions $pour l’ensemble des organismes en défense collective des droits du Québec, dont près d’un million pour les groupes lanaudois. Elle demande aussi que le financement des groupes soit indexé au coût de la vie, et ce de manière rétroactive.Dans les prochaines semaines, les groupes en défense collective des droits organiseront des actions dans différentes régions du Québec pour faire entendre leurs revendications.

     

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    Mylène Geoffroy, Mouvement d’éducation populaire autonome de Lanaudière : 450-752-4700 * info@mepal.net

    Mélanie Boisvert, Association des personnes handicapées visuelles de Lanaudière : 450 474-8268 *info@aphvl.com

     

    Le Comité des organismes en défense de droits de Lanaudière (CODDL) regroupe une quinzaine de groupes financés par le programme « Promotion des droits » du Secrétariat à l’action communautaire et aux initiatives sociales (SACAIS). Ces organismes agissent dans différents secteurs de la défense collective des droits sur le territoire lanaudois : transport adapté, logement, travailleurs et travailleuses accidentées, défense des droits sociaux, soutien aux personnes à faible revenu, égalité femmes-hommes, personnes avec des limitations physiques et aînéEs.

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  • Colloque
    Communiqués

    Communiqué « Lanaudière : entre exclusions et solidarités »

     

    « Lanaudière : entre exclusions et solidarités »

    UN GRAND COLLOQUE POPULAIRE DANS LA RÉGION

     

    Joliette, 11 novembre 2017 – Le Mouvement d’éducation populaire autonome de Lanaudière (MÉPAL) tiendra un colloque d’une journée le 30 novembre prochain au Centre communautaire Saint-Jean-Bosco. La journée sera suivie d’un « 5 à 7 engagé » sous la forme d’un cabaret où se succèderont différents artistes, dont le slammeur lanaudois Jocelyn Thouin et l’humoriste Fred Dubé.

    Un « colloque populaire »

    Colloque, car il s’agit d’une grande rencontre qui vise la réflexion et la discussion autour d’un thème. Populaire, car il se déroule en mode « éducation populaire autonome », c’est-à-dire par et pour les gens du milieu. De plus, par les activités proposées, nous serons amenéEs à vulgariser et à réfléchir collectivement à des phénomènes qui créent de l’exclusion sociale. Et surtout, il vise la transformation sociale et le développement de liens de solidarité dans la région.

    La journée débutera avec une grande conférence sur le thème du racisme à laquelle participeront France Robertson, directrice au Centre de l’amitié autochtone de Lanaudière, la militante féministe Alexandra Pierre, le professeur Sid Ahmed Soussi et le militant anti-raciste Guillaume Hébert.

    Cinq ateliers, animés la plupart par des intervenantes de la région, seront ensuite proposés aux participantEs. Les thèmes abordés sont le colonialisme (CRÉDIL), le territoire (Projet Des terres minées), l’itinérance (La Hutte – hébergement d’urgence) les stéréotypes de genre à l’enfance (Le NÉO) et le discours haineux (Mouvement contre le discours de haine).

    Pour terminer la journée, un 5 à 7 engagé est organisé.Le public assistera à différentes prestations et pourra profiter d’un service de bar.

    À faible coût, le colloque, s’adresse aux travailleurs et travailleuses, militantEs, et bénévoles de groupes communautaires lanaudois, mais il est également ouvert aux groupes sociaux de la région, ainsi qu’à la population en général. L’entrée pour le 5 à 7 est gratuite.

    Consultez la programmation et inscrivez-vous sur le site Web du MÉPAL.

    Le Mouvement d’Éducation Populaire Autonome de Lanaudière est un regroupement d’organismes lanaudois voué à la promotion et au développement des pratiques d’éducation populaire autonome et à la défense des droits sociaux dans la région.

    -30-

     

    Informations et programmation

    Inscription en ligne (JUSQU’AU 27 NOVEMBRE) !

    Événement Facebook

     

    Pour informations :

    Mylène Geoffroy, coordonnatrice, Mouvement d’éducation populaire autonome de Lanaudière. 450 752-4700

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  • Communiqués,  Nouvelles du MÉPAL

    La grève du communautaire, pour enfin passer à autre chose !

    Joliette – 7 novembre 2017.  Dans le cadre de la consultation nationale sur la grève du communautaire à l’hiver 2017 coordonnée par la campagne Engagez-vous pour le communautaire, le MÉPAL souhaite contribuer à la réflexion et aux débats qui ont cours actuellement dans le mouvement communautaire autonome de la région en présentant son point de vue.

    D’entrée de jeu, rappelons que lors de l’assemblée générale de mai 2017, les membres du MÉPAL se sont positionnés unanimement en faveur de la grève du communautaire.

    Depuis des années, les mobilisations se sont succédées, et avec elles, d’innombrables actions ont été soutenues par les milliers de groupes communautaires à travers tout le Québec. Des campagnes de messages sur les réseaux sociaux aux manifestations nationales, rien n’a vraiment changé pour l’immense majorité d’entre nous, alors que notre rapport de force nous apparaît, à l’heure actuelle, nul. Plutôt que la colère et l’indignation, moteurs essentiels à toute lutte, c’est plutôt un essoufflement et la résignation qui semblent habiter le mouvement communautaire suite à des années de mobilisation pour la reconnaissance et le financement.

    Est-il nécessaire de refaire ici, encore une fois, la longue liste des conséquences du sous-financement des organismes communautaires sur ses travailleurs et travailleuses, sur l’accueil et les services offerts aux membres, sur les communautés ?

    Si nous choisissons la grève, c’est que ce sont sur nos missions que nous voulons nous concentrer, et pour cela, il faut un refinancement massif une fois pour toutes ! La grève générale illimitée constitue l’ultime moyen dont nous disposons comme mouvement social. En effet, la possibilité d’une grève générale et illimitée, donc potentiellement longue, met davantage de pression sur le gouvernement qu’une grève réelle d’une journée. Celui-ci ne peut pas se dire « demain ça sera terminé » et « après-demain on en parlera plus ! ». L’histoire des luttes sociales nous enseigne que c’est par des actions qui créent de la pression et de l’instabilité, des grèves par exemple, que les mouvements sociaux ont arraché des droits qui nous paraissent aujourd’hui « fondamentaux » et des services et programmes publics que l’on considère maintenant « essentiels »…

    Nous croyons que l’hiver prochain constitue un moment stratégique pour mener une grève. D’une part, le budget du printemps 2018 sera le dernier avant les élections : en termes de stratégie politique, c’est LE moment d’augmenter la pression sur ce gouvernement qui cherchera plus que jamais à séduire l’électorat et à éviter la tourmente sociale.

    D’autre part, un récent sondage révélait dernièrement que 82 % des QuébécoisEs reconnaissent le rôle des organismes communautaires autonomes pour l’amélioration des conditions de vie et que 84% d’entre eux sont favorables à ce que les organismes soient financés adéquatement. À la lumière de ces résultats, nous estimons que la population appuierait notre grève et nos revendications. À notre avis, cela constitue un « avantage » dont ne bénéficie pas tous les mouvements sociaux dans leurs luttes, aussi légitimes soient-elles !

    La consultation sur la grève en cours vise chacun des organismes communautaires autonomes. C’est donc de notre responsabilité à toutes et à tous de tenir des discussions et des réflexions dans nos instances démocratiques avec nos membres dans le but de répondre le plus tôt possible au sondage en ligne lancée par la campagne nationale Engagez-vous pour le communautaire !

    Soyons stratégiques ! Soyons solidaires entre secteurs et entre groupes ! Soyons inventifs pour surmonter les obstacles que soulèvent une grève dans nos organismes ! Soyons deboutEs et fortEs pour exiger la justice sociale !

     

    Le conseil d’administration, le comité ÉPA et luttes sociales et l’équipe de travail du Mouvement d’éducation populaire autonome de Lanaudière 

     

    Pour télécharger la lettre en format PDF, cliquez ici
    Vous pouvez consulter ici l’outil 14 questions et réponses sur le grève du communautaire produit par le MÉPACQ
    Manifeste pour une grève du communautaire

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    La région de Lanaudière manifestera pour la justice sociale à Montréal ce samedi

    Le Mouvement d’éducation populaire autonome de Lanaudière (MÉPAL) dénonce l’hypocrisie derrière les nouvelles priorités du gouvernement Couillard

    JOLIETTE, le 23 octobre 2017 – Suite au remaniement ministériel, la Coalition Main rouge, formée de regroupements communautaires de différents secteurs, d’organisations syndicales et féministes, dénonce les contradictions dans les nouvelles priorités du gouvernement. Alors que Philippe Couillard dit vouloir abaisser le fardeau fiscal tout en réduisant les inégalités sociales et en améliorant la qualité de vie des citoyens et des familles, le MÉPAL croit que le gouvernement libéral met plutôt la table pour de nouvelles compressions puisqu’il ne s’engage pas à revoir la fiscalité. Rappelons que les surplus record dont se vante le gouvernement ont été faits au prix de compressions qui continuent d’affecter la population lanaudoise. Pour en dénoncer les conséquences et demander un réinvestissement massif dans les services publics, les programmes sociaux et l’action communautaire autonome, les membres de divers groupes sociaux de Lanaudière sont invités à participer à la manifestation organisée par la Coalition Main rouge, ce samedi 28 octobre à Montréal.

    « Plutôt que de s’attaquer aux inégalités sociales comme monsieur Couillard dit vouloir le faire, les politiques néolibérales comme ses plus récentes mesures d’austérité les amplifient » rappelle Mylène Geoffroy, coordonnatrice au MÉPAL. «Les baisses d’impôts profitent essentiellement aux mieux nantis et aux grandes entreprises. Elles contribuent aussi à créer artificiellement une « crise » des finances publiques en vidant les caisses de l’État, ce qui sert ensuite à justifier l’austérité. » souligne-t-elle. « Pendant ce temps, le recours accru à la tarification et à la marchandisation des services limitent de plus en plus l’accessibilité des services publics. Et pendant que quelques-uns font de bonnes affaires, la majorité de la population », rappelle Dominique Daigneault, co-porte-parole de la Coalition. À titre d’exemples, la Coalition mentionne les frais multiples à débourser pour du matériel ou des activités parascolaires au primaire et au secondaire, la modulation des tarifs en CPE qui appauvrissent particulièrement les familles, les hausses de tarifs d’Hydro utilisées au détriment des ménages les plus pauvres ou encore les impacts des coupes au programme Accès-Logis, notamment sur la région lanaudoise où un manque important de logements sociaux se fait sentir depuis de nombreuses années.

    « En plus des baisses d’impôt, le régime fiscal, qui valorise l’évitement fiscal et ferme les yeux sur l’évasion fiscale, nous prive collectivement de milliards de $ qui pourraient être investis dans les écoles, dans les soins de santé, dans les services sociaux, la culture, la protection de l’environnement, les services de garde éducatifs subventionnés, le logement social, l’aide sociale et les groupes d’action communautaire autonome. On donne des cadeaux aux riches plutôt que de se préoccuper de notre développement social !» affirme Véronique Laflamme. Selon les membres de Main rouge, les solutions existent pour réellement réduire les inégalités sociales : mieux répartir la richesse, revoir la fiscalité et réinvestir massivement dans les services publics, les programmes sociaux et l’action communautaire. «Sans cela, le gouvernement Couillard ne peut pas améliorer les conditions de vie de la population et des familles comme il dit vouloir le faire, et la transformation en profondeur promise par le premier ministre risque de se résumer à un nouvel affaiblissement de notre filet social.», mettent en garde les porte-parole.

    À quelques mois d’un budget pré-électoral, la Coalition Main rouge et le MÉPAL viennent de lancer une vaste campagne sous le thème « Viser la justice sociale » afin de contrer le démantèlement du filet social.

    La manifestation du 28 octobre à Montréal est la première mobilisation de cette campagne. À quelques jours de l’Halloween, elle se déroulera sous le thème de Robins des bois et sa bande. Des membres de groupes communautaires et populaire, de syndicats de l’enseignement, de la fonction publique, de la santé et services sociaux, du secteur privé ainsi que des groupes de femmes seront présents et viendront de différentes régions.

    Le départ de Joliette en direction de Montréal se fera à 11 h 30.

    Infos et inscriptions : 450 752-4700 ou info@mepal.net

    Événement facebook

    #ViserLaJusticeSociale

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    Atelier d’éducation populaire « Monopoly »

    La vie, c’est pas un jeu!

    Atelier d’éducation populaire pour mieux connaître les groupes d’action communautaire autonome et leurs revendications

    La campagne Engagez-vous pour le communautaire propose une activité d’éducation populaire facile à organiser dans le cadre de vos activités formelles ou informelles, dans vos rencontres d’équipe, de conseil d’administration, etc. Cet atelier vous permettra de créer un espace de discussions autour de la campagne Engagez-vous pour le communautaire et de ses revendications.

    Sous le populaire thème du Monopoly, les activités vous permettront d’expliquer :

    • Ce que le dernier budget (2017-2018) a fait pour les groupes communautaires.
    • Les revendications des groupes communautaires sur le financement, l’autonomie et la justice sociale.

    Téléchargez les documents et, bon atelier !

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    Des actions au Colloque du MÉPACQ

    En action pour la justice sociale – Pour une meilleure redistribution de la richesse

    Lors du colloque du MÉPACQ qui s’est tenu le 10 mai dernier, près d’une centaine de personnes ont pris d’assaut le centre-ville de Trois-Rivières pour réclamer une meilleure justice sociale. Venant de partout au Québec, elles étaient réunies dans le cadre du colloque « En action pour la justice sociale », organisé par le Mouvement d’éducation populaire et d’action communautaire du Québec (MÉPACQ). Les participants et participantes, réparties sur divers sites près du Parc Champlain, ont organisé différentes actions allant de la performance artistique jusqu’à l’action dérangeante pour réclamer une meilleure redistribution de la richesse.

    Après avoir assisté à divers ateliers d’éducation populaire en avant-midi, les participants et participantes sont passées de la réflexion à l’action pour interpeller la population et les élus et élues dans le cadre de la Semaine de la dignité des personnes assistées sociales du Québec. « On attend toujours que le gouvernement dépose son plan de lutte contre la pauvreté. Il est grand temps que celui-ci démontre une réelle volonté d’enrayer ce fléau. Tous et toutes ont droit à un revenu décent », affirmait François Melançon, un porte-parole de l’événement.

    Les organismes communautaires multiplient les moyens de pression pour que le gouvernement réinvestisse massivement dans les programmes sociaux, les services publics et l’action communautaire autonome. « Le colloque du MÉPACQ est l’aboutissement d’une série de formations offertes au cours des trois dernières années sur la façon de mener les luttes sociales.» rappelait Marie-Chantal Locas, aussi porte-parole de l’événement.

    (Images & texte, MÉPACQ, TROVEP Montréal)

    Extraits vidéo de quelques actions organisées au colloque
    https://www.facebook.com/128038280578467/videos/1291259720922978/
    https://www.facebook.com/128038280578467/videos/736212136427742/

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  • Communiqués,  Nouvelles de nos membres

    C’EST LE TEMPS DE PARLER !

    (Joliette, le 5 mai 2017) – Le 23 mai prochain, à Joliette, Action DIGNITÉ Lanaudière invite à un événement unique en son genre les personnes prestataires d’aide sociale, les travailleurs saisonniers, les travailleurs à bas salaire et les chômeurs à la veille de terminer leur chômage et de « tomber », comme on dit, sur l’aide sociale.

    La rencontre, qui se tiendra de 16 h à 21 h et qui se veut un lieu de participation, donnera libre cours aux échanges et aux témoignages ainsi qu’au partage d’attitudes à adopter et de trucs pratiques pour se faire entendre et maintenir une bonne communication avec les agents d’aide sociale tout en préservant ses droits et sa dignité. Les experts invités sont, pour la majorité d’entre eux, des personnes qui vivent ou ont connu le parcours difficile qu’on doit parfois emprunter lorsqu’on fait face à la bureaucratie et à l’énorme paperasse à chercher ou à remplir.

    La rencontre se déroulera dans la salle du sous-sol de la CSN au 199, rue Montcalm à Joliette, et un goûter gratuit sera servi. Il faut cependant s’inscrire et les personnes intéressées ont jusqu’au 17 mai, 16 h, pour le faire, en laissant à Action DIGNITÉ Lanaudière, au 450 756-1155, un message avec leur nom et leur numéro de téléphone. À noter que seulement les personnes qui se seront inscrites pourront prendre part à la rencontre.

    Action DIGNITÉ Lanaudière, qui se veut le porte-parole des personnes à faible revenu, compte, par la suite, transmettre aux instances politiques concernées et aux responsable locaux, régionaux et nationaux du ministère du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale, les principaux éléments qui auront été soulevés et les propositions qui auront été formulées par les participants à cette rencontre.

    -30-

    Source: Jacques Patenaude, Jacques Deslauriers, Gérard Lenormand, Audrey Patenaude

    Action DIGNITÉ Lanaudière

    Tél.: 450 756-1155

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  • Communiqués

    Le travail, pas à n’importe quel prix !

    (Joliette, le 1er mai 2017) Le Conseil central de Lanaudière-CSN ainsi que le Mouvement d’éducation populaire autonome de Lanaudière (MÉPAL) ont souligné la Journée internationale des travailleuses et des travailleurs dont le thème de cette année est  Le travail, pas à n’importe quel prix. À Joliette, syndicats et groupes communautaires ont participé à un atelier d’éducation populaire sur la question de la hausse du salaire minimum à 15$/h.

    À l’instar des nombreux groupes sociaux qui soutiennent la Campagne 5-10-15 partout au Québec, le Conseil central de Lanaudière et le MÉPAL profitent du 1er mai pour réitérer la nécessité d’améliorer les conditions minimales des travailleuses et des travailleurs en portant trois revendications majeures.

    Tout d’abord, le relèvement du salaire minimum au taux de 15 dollars l’heure. Plus d’un million de salarié-es gagnent moins que cela. « Le salaire minimum est beaucoup trop bas actuellement. Il n’assure pas aux familles des conditions de vie décentes. Beaucoup de mythes circulent quant à l’impact d’une telle hausse sur les prix à la consommation. C’est oublier que les salaires sont une part seulement des coûts d’une entreprise de fabrication ou de services. Toutes les études sérieuses montrent qu’une hausse bien encadrée aura un effet positif sur l’économie, car ces travailleuses et ces travailleurs ont besoin de cet argent qui sera immédiatement réintroduit dans l’économie locale par l’achat de nouveaux biens et services », explique Patricia Rivest, vice-présidente du Conseil central de Lanaudière-CSN.

    Pour Mylène Geoffroy, coordonnatrice au MÉPAL, augmenter le salaire minimum à 15 $ constitue un moyen efficace de lutter contre la pauvreté, particulièrement pour les femmes qui représentent 57 % des personnes gagnant moins de 15$/h. « À côté des programmes sociaux, essentiels dans notre société, le salaire minimum constitue une autre politique sociale qui permet de redistribuer la richesse sans que cela engendre des coûts supplémentaires pour l’État et l’ensemble des contribuables.  Ça nous apparaît un moyen évident de responsabiliser les entreprises » rappelle-t-elle.

    Outre une augmentation substantielle du salaire minimum, deux autres mesures devraient être incluses dans les normes du travail pour améliorer les conditions des salarié-es : le droit à recevoir son horaire de travail au moins cinq jours d’avance et le droit à 10 jours de congé payés par année pour cause de maladie ou de responsabilités familiales. « Ce sont des modifications qui auront au final peu d’impact sur l’organisation des entreprises tout en permettant aux salarié-es de mieux concilier leurs obligations familiales et leur travail, une des priorités des travailleuses et des travailleurs d’aujourd’hui », conclue Madame Rivest.

    Le communiqué ici.
    Le tract à imprimer ici.

     

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    1er mai – 15$ minimum – École dans la rue

    Pour la Journée internationale des travailleurs et des travailleuses, le Conseil central de Lanaudière-CSN et le Mouvement d’éducation populaire autonome de Lanaudière (MÉPAL) vous invite à un 1er mai d’éducation populaire sur le thème du salaire minimum à 15 $.
    Parce que le respect des droits et la dignité de tous les travailleurs et de toutes les travailleuses passent par nos luttes, solidarisons-nous !

    9 h : Atelier d’éducation populaire « Toute la lumière sur le salaire minimum »
    (Inscriptions à la CSN)

    12 h à 13 h : Écoles dans la rue, pour déjouer les mythes entourant l’augmentation du salaire minimum à 15 $ (Rendez-vous devant le Cégep de Joliette) Pour plus d’infos: info@mepal.net Bienvenue à toutes et à tous !

    Pour les inscriptions, contactez la CSN :
    Téléphone : 1-888-759-0762
    Télécopieur : (450) 759-3234
    reception.cclanaudiere@csn.qc.ca

    Évènement Facebook : https://www.facebook.com/events/244976472635101/

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  • Nouvelles du MÉPAL

    Conférence publique sur le revenu minimum garanti

    (Joliette, le 9 mars 2017) –

    L’évènement, organisé conjointement par le Mouvement d’éducation populaire autonome de Lanaudière (MÉPAL) et le Syndicat des enseignantes et enseignants du Cégep de Lanaudière à Joliette, a réuni au total près d’une centaine de personnes de la région qui sont venues s’informer sur cet enjeu.

    La conférence était donnée conjointement par Mme Ève-Lyne Couturier, chercheure à l’IRIS, et Sylvia Bissonnette, coordonnatrice à la recherche et à la formation au Groupe de recherche et de formation sur la pauvreté au Québec.  Cette conférence a permis d’apporter quelques nuances au débat et d’identifier les impacts positifs et négatifs d’un revenu minimum garanti. L’implantation d’un tel projet trouve un écho favorable de part et d’autre du spectre politique dans des visions opposées de ce que pourrait apporter cette initiative. La droite y voit la possibilité de se libérer de la main mise du gouvernement sur un ensemble de domaines. La gauche se demande quel sera le rôle social du gouvernement et quels impacts auront les transformations sur notre filet social.

    Les effets étudiés de projets pilote sous différentes formules dans le monde permettent toutefois de dresser un bilan somme toute positif, bien que plusieurs variables ne permettent pas encore de transposer toutes les données. Il apparaît toutefois que les initiatives les plus probantes ont été assistées par des organismes ressources ou chapeautées par une communauté.

    Sylvia Bissonnette du FCPASQ, tenait pour sa part à mettre de l’avant le Revenu social universel garanti (RSUG) qui s’inscrirait plutôt dans un projet de société plus global. Ce revenu devrait obligatoirement s’accompagner de services publics universels et gratuits pour améliorer l’ensemble des conditions de vie des personnes du Québec et offrir une véritable couverture des besoins essentiels identifiés dans la Loi sur l’aide aux personnes et aux familles.

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    Nouveau guide d’animation du MÉPACQ sur les actions dérangeantes

    Certains organismes communautaires et groupes sociaux utilisent, depuis plusieurs années, les actions dérangeantes et la désobéissance civile comme moyen pour faire avancer leurs revendications et pour dénoncer les abus des systèmes d’oppression en place (patriarcat, néolibéralisme, capitalisme, etc.). Ce type de moyens de pression, bien qu’il ne fasse pas l’unanimité dans le milieu communautaire, gagne pourtant en popularité. L’outil « DÉRANGER ET DÉSOBÉIR POUR L’AVANCEMENT DE NOS DROITS » du MÉPACQ a été créé pour démystifier et légitimer différents types de moyen de pression afin que les organismes communautaires puissent avoir en main quelques outils pour en débattre dans leurs instances. Un nouveau guide d’animation du MÉPACQ pour accompagner cet outil est maintenant disponible.

    L’outil du MÉPACQ sur les actions dérangeantes : ici

    Le guide d’animation pour l’accompagner : ici

     

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