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    Brochure sur la tarification sociale

    CAMPAGNE POUR LE DROIT À LA MOBILITÉ DANS LANAUDIÈRE:

    ON DOIT SE MOBILISER POUR POUVOIR SE DÉPLACER DANS LES VILLES ET LES CAMPAGNES!

    Vous pouvez accéder ici à la brochure sur la tarification sociale produite par notre comité transport.

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    Camping chez Legault!

    Action-Logement Lanaudière organise, le mercredi 12 mai prochain à de 12h à 16h30, un campement symbolique devant le bureau du Premier ministre François Legault (831, Boulevard de l’Ange Gardien Nord à L’Assomption) afin de lui rappeler que la crise du logement est bien réelle.

    La crise du logement, c’est maintenant !

    Le Premier ministre Legault, un député de Lanaudière, nie la crise du logement, ne croit pas qu’il y ait des hausses abusives et pense que seules les personnes à faible revenu sont touchées par la pénurie de logements.

    N’attendons pas le 1er juillet et allons camper devant ses bureaux pour dénoncer ce qui risque d’arriver, PARTOUT au Québec.

    Des ateliers sur la crise du logement seront animés par Action-Logement Lanaudière.

    Apportez votre tente et votre masque, on s’occupe du reste.

    Famille, enfants et ami.e.s sont toutes et tous les bienvenu.e.s!

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    Webinaire sur le revenu de base

    Pour celles et ceux qui auraient manqué notre webinaire sur le revenu de base, il est maintenant en ligne. Nos deux invitées: Ambre Fourrier, autrice du livre « Le revenu de base en question » et Eve-Lyne Couturier, chercheure à l’IRIS (Institut de recherche et d’informations socioéconomiques).

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  • Communiqués

    Les groupes sociaux de Lanaudière réclament un budget pour la justice sociale

    Diffusion immédiate – Communiqué de presse

    Les groupes sociaux de Lanaudière réclament un budget pour la justice sociale

    L’Assomption, 20 février 2019 –  À l’occasion de la Journée Mondiale pour la Justice Sociale, des organismes communautaires et des syndicats lanaudois s’unissent pour réclamer un meilleur financement de nos services publics, de nos programmes sociaux et de nos organismes communautaires autonomes. Ils souhaitent ainsi que soient améliorer la qualité des services et l’accessibilité aux institutions, aux organismes et aux programmes sociaux qui composent notre filet social affaibli par des années d’austérité. Les organisations sociales craignent aussi que le gouvernement se prive de revenus en diminuant les contributions fiscales des plus riches et des entreprises ce qui mettrait en péril le refinancement du filet social. Ainsi, plusieurs acteurs sociaux du milieux syndical et communautaire la région se sont mobilisés pour demander au nouveau gouvernement d’utiliser les 4.5 milliards de surplus budgétaires dégagés par les dernières années d’austérité pour soutenir l’avancement de la justice et l’équité sociale. À l’appel de la Coalition Main Rouge et de la Campagne Engagez-vous pour le communautaire des mobilisations et des actions de visibilité similaires auront lieu dans toutes les régions du Québec aujourd’hui.

    Kathleen Grenon, vice-présidente du Conseil central de Lanaudière-CSN souligne que « les nombreuses coupes ont mis à mal la grande majorité des services sociaux au Québec. La proximité et l’accessibilité s’en trouvent grandement affectées et nous sommes à même de constater que ce sont les gens les plus vulnérables de notre société qui en subissent les contrecoups. C’est sans compter les conditions de travail de plus en plus difficiles avec lesquelles doivent composer les travailleuses et travailleurs qui portent à bout de bras les organismes communautaires et les institutions de santé et d’éducation. » Sandra Morneau du Centre au cœur des femmes de St-Jean-de-Matha renchérit : « Les femmes sont les premières affectées par une modification du filet social que ce soit dû aux conséquences dans leur milieu de travail ou aux embuches dans l’accès aux services et aux programmes sociaux.  Ce sont majoritairement les femmes qui deviennent aidantes naturelles pour offrir à leurs proches les soins qui ne sont pas offerts par le système. Les femmes sont plus pauvres, plus fragilisées par des troubles de santé mentale et certaines vivent de l’itinérance invisible. La lourdeur de la situation se fait sentir chez les travailleuses communautaires qui vivent elles-mêmes la détresse psychologique. »

    Pour sa part le MÉPAL rappelle l’importance de mettre en place des mesures fiscales favorisant la redistribution des richesses ainsi que d’améliorer l’accès et les conditions de plusieurs programmes sociaux afin de réduire les inégalités sociales. Entre autres mesures, Sarah Girard, coordonnatrice du MÉPAL mentionne la lutte aux paradis fiscaux, le rehaussement de l’ensemble des revenus de base (bonification de l’aide sociale pour les personnes sans contrainte à l’emploi, établissement du salaire minimum selon l’indice du salaire viable), et le financement des organismes communautaires autonomes qui œuvrent au premier plan à combattre la pauvreté au quotidien comme des mesures nécessaires pour réduire les inégalités. Hugo Valiquette, coordonnateur de la TROCL rappelle que le milieu communautaire autonome revendique depuis déjà plusieurs années un rehaussement de son financement à hauteur de 475 M$ ainsi que l’indexation permanente du financement pour tous les secteurs d’intervention. Investir dans le communautaire, c’est socialement rentable. C’est aussi une mesure économique porteuse, car à chaque fois que le gouvernement investi dans le communautaire, les retombées sont partout, ici dans la région et dans toutes les communautés du Québec.

    L’Association des Travailleuses et Travailleurs Accidentés du Matawin de son côté, mentionne que le déni de droit mène directement à l’indigence et c’est un phénomène qui se systématise, tellement l’accès aux Tribunaux Administratifs est rétrécie par des directives internes; plusieurs de nos lois à caractère social (ex : assurance-emploi, maladies/accidents liés au travail, aide sociale), sont dénaturées bureaucratiquement, ce qui empêche les simples citoyens de faire valoir et faire respecter leurs droits légitimes; ils deviennent privés des moyens financiers qui leurs auraient servis pour se sortir d’un mauvais pas. Le déni de droits va à l’encontre de la démocratie puisque, certes ces lois ont été votées en Assemblée Nationale, mais leur application est modifiée à l’interne suite aux pressions de lobbyistes. L’accès à la justice sociale est aussi un enjeu de taille.

    Les services publics ont aussi de criants besoins d’investissement et d’une réorganisation concrète et humaine.   En ce sens, il est primordial de réinvestir dans le secteur de l’éducation publique, secteur qui tend à réduire les inégalités économiques et sociales. « Pour nous, l’éducation doit être une réelle priorité. Ainsi, cela doit notamment se traduire par un réinvestissement afin d’obtenir des compositions de classes plus équilibrées ainsi que des services suffisants pour favoriser la réussite des élèves et, par le fait même, permettre le déploiement de l’expertise enseignante.  Pour donner de l’air au système, il faut aller au-delà du discours cosmétique sur les structures et considérer les solutions que les enseignantes et enseignants ont à offrir. », affirme François Breault, président du Syndicat de l’enseignement de Lanaudière. Pour Richard Belhumeur, représentant national de l’APTS, il faut également réduire la place indue qu’occupent les médecins dans le système afin d’instaurer une approche multidisciplinaire où tous et toutes agiront en complémentarité et donneront des services selon leur propre champ de compétence. Nos concitoyen.ne.s ne s’en porteront que mieux. » Ce dernier considère qu’il importe d’éviter la tentation d’utiliser la marge de manœuvre dégagée par les surplus accumulés pour baisser les impôts au détriment des services.

    Au cours des dernières semaines, les organismes communautaires et les syndicats de la région ont été invités à récolter la parole de leurs membres afin de transmettre aujourd’hui au premier ministre, aussi député de l’Assomption, l’importance du filet social pour eux et elles. Les citoyens et citoyennes ont toujours la possibilité de le faire via les sites jaimelecommunautaire.org et sauvonslefiletsocial.org. Nous espérons qu’une telle démarche puisse rappeler au gouvernement l’importance de mettre la justice sociale au cœur de son prochain budget afin de contrer le recul des conditions de vie des femmes, des personnes en situation de pauvreté, des accidenté.es du travail, des personnes vivant avec un handicap physique, une déficience intellectuelle ou une problématique en santé mentale. De plus, nous espérons qu’un réinvestissement puisse diminuer la détresse au travail dans les milieux de l’éducation, de la santé et de l’action communautaire autonome.

    -30-

    Pour information :

     

    Sarah Girard, MÉPAL, 450-752-4700/
    514-449-0088

    Hugo Valiquette, TROCL, 450-839-6085/
    514-802-4846

    Kathleen Grenon, Vice-présidente Conseil Central de Lanaudière-CSN, 450-751-4466

     

    À propos

    La Coalition Main Rouge et la campagne Engagez-vous pour le communautaire rassemblent plus d’une centaine de regroupements régionaux et provinciaux (communautaires, syndicats et étudiants), rejoignant à leur tour des milliers de groupes divers partout au Québec, œuvrant dans des secteurs divers : centres de femmes, personnes âgées, aide aux familles, groupes de consultation budgétaire et de défense des droits dans le domaine de la consommation, du logement, de l’éducation populaire, en santé et services sociaux, enseignement, travailleurs et travailleuses des secteurs publics et privés, etc.

    ATTAM

    L’Association des travailleurs et travailleuses accidentés du Matawin regroupe une trentaine de membres. Organisme communautaire de défense collective des droits des travailleurs accidentés non-syndiqués de la population en général venant directement en aide aux victimes par le biais d’un réseau d’entraide, de support psychosocial et de soutien technique.

    CENTRE AU CŒUR DES FEMMES

    Le Centre compte actuellement 324 membres provenant principalement de la Matawinie. Notre mission consiste à améliorer les conditions de vie des femmes, informer et sensibiliser les femmes sur les questions qui les concernent, accompagner les femmes dans leurs démarches d’autonomie et bâtir un espace d’égalité et de solidarité. Voici le lien pour en savoir d’avantage :  https://www.facebook.com/Centre-Au-Cœur-des-Femmes-1057651224246345/

    MÉPAL

    Le MÉPAL est un regroupement de 26 groupes communautaires partageant des pratiques d’éducation populaire autonome, un engagement pour la défense collective des droits humains, la dignité des personnes et pour la justice sociale. Pour en savoir plus, consultez notre site web www.mepal.net ou notre page Facebook au www.facebook.com/MEPAL.Faites.partie.du.Changement. Les groupes membres du MÉPAL participants à l’organisation : Groupe d’entraide en toute amitié, Association des travailleurs et travailleuses accidentéEs du Matawin, Action dignité Lanaudière, Centre au cœur des Femmes, Maison populaire de Joliette,

    TROCL

    La TROCL regroupe 185 organismes communautaires autonomes de la région. Tous ont un objectif commun, celui d’améliorer la qualité de vie des Lanaudoises et Lanaudois. Consultez notre site web au http://www.trocl.orgou sur Facebook au www.Facebook.com/TROCL pour en savoir plus. Les OCA ont été créés par la population pour répondre aux besoins exprimés par celle-ci. De par leur fonctionnement démocratique, leur enracinement dans leur communauté et leurs approches humaines et globales, ils sont un élément clé du maintien du tissu social et participent au mieux-être de la collectivité.

     

    LE SYNDICAT DE L’ENSEIGNEMENT DU LANAUDIÈRE (SEL)

    Le SEL représente environ 2 200 enseignantes et enseignants de tous les secteurs à l’emploi de la Commission scolaire des Samares. Il est affilié à la Fédération des syndicats de l’enseignement (FSE-CSQ) et à la Centrale des syndicats du Québec (CSQ).

    LE CONSEIL CENTRAL DE LANAUDIÈRE-CSN

    Le Conseil central de Lanaudière-CSN représente près de 13 000 travailleuses et travailleurs répartis dans plus de 81 syndicats sur son territoire.

    L’ALLIANCE DU PERSONNEL PROFESSIONNEL ET TECHNIQUE DU RÉSEAU DE LA SANTÉ ET DES SERVICES SOCIAUX

    L’APTS représente quelque 55 000 membres à travers le Québec, qui jouent un rôle indispensable au bon fonctionnement des établissements du réseau. Dans Lanaudière, l’APTS regroupe 2300 membres.

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    Moi aussi j’ai le droit au gros lot !

    19 décembre 2018, Joliette – Le Mouvement d’Éducation Populaire Autonome de Lanaudière, Action DIGNITÉ Lanaudière et le Mouvement Personne D’abord de Joliette ont tenu un café-rencontre sur la thématique de la pauvreté et de l’exclusion sociale.

    Le 18 décembre dernier, trois organismes ont animé une activité d’éducation populaire sur le thème de la pauvreté et de l’exclusion sociale. Cette activité s’inspirait de la campagne de sensibilisation de cartes de Noël du Collectif pour un Québec sans pauvreté. En cette période des guignolées qui se multiplient, les trois organismes souhaitent rappeler que « ce n’est pas la charité momentanée qui peut mettre fin à la pauvreté, mais de réelles mesures d’augmentation des revenus de bases pour tous et toutes » selon Sarah Girard, coordonnatrice du Mouvement d’éducation populaire autonome de Lanaudière.  

    Cette campagne dénonce, entre autres, qu’une personne sur dix au Québec n’a pas un revenu suffisant pour subvenir à tous leurs besoins de base.Le Collectif pour un Québec sans pauvreté a parodié les loteries les plus populaires afin de sensibiliser la population à la pauvreté et l’exclusion sociale. On peut lire, entre autres sur la carte « Lotto pauvre-o-max » qu’au Québec, « 800 000 personnes ne couvrent pas tous leurs besoins de base».

    Les cartes rappellent aussi la dimension politique de la pauvreté et l’exclusion sociale et mentionnent que «ce n’est pas de chance que le Québec a besoin pour éliminer la pauvreté, mais de volonté politique.»En effet, d’autres cartes parodient la célèbre« lotto 6/49 » qui devient « lotto 648 ». Celles-ci racontent l’histoire de deux personnes prestataires de l’aide sociale qui n’ont droit qu’à une prestation de base de 648 $ par mois.La carte « mini vie » fait aussi le portrait d’une jeune femme qui n’arrive pas à combler ses besoins de bases malgré son emploi au salaire minimum.

    Lors de l’activité du 18 décembre, les participant(e)s ont tenté de faire un budget couvrant les besoins de bases déterminés par Action Dignité Lanaudière. Ces budgets correspondaient aux revenus d’une personne travaillant au salaire minimum ou encore au montant que reçoivent les prestataires de l’aide sociale. Des montants que les trois organismes estiment insuffisants.

    Les participant(e)s ont constaté que même en travaillant au salaire minimum, ils ne sont pas à l’abri de la précarité puisque pendant l’activité ils devaient couper dans plusieurs besoins de bases afin d’arriver. Ils et elles ont aussi mentionné que le montant reçu par les gens qui ont recours à l’aide sociale est beaucoup trop maigre puisque le montant alloué au coût des loyers est souvent entre 40% et 80% du l’argent reçu chaque mois, ce qui ne laisse que très peu pour subvenir à tous les autres besoins de bases ! Peu de personnes connaissent réellement le montant que reçoivent les personnes prestataires de l’aide sociale. Lors de l’activité, les participants ont aussi été amenés à déconstruire certains préjugés qui sont ancrés dans nos imaginaires concernant les personnes en situation de pauvreté. Afin de sensibiliser nos élu(e)s à la situation, quelques participant(e)s en ont profité pour envoyer une carte à nos députés ou au ministre de l’Emploi et de la Solidarité sociale.

    Pour aller plus loin :http://www.pauvrete.qc.ca/cartes-noel-2018/

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  • Nouvelles de nos membres

    Et si on prenait le temps d’essayer de comprendre…

    COMMUNIQUÉ

    POUR DIFFUSION IMMÉDIATE

     

    ET SI ON PRENAIT LE TEMPS D’ESSAYER DE COMPRENDRE…

     

    Mascouche, le 7 mai 2018 – Dans le cadre de la Semaine de la dignité des personnes assistées sociales, l’Action Populaire des Moulins lance une vidéo qui invite la population à prendre quelques instants pour essayer de comprendre…

    … comprendre comment on peut se retrouver dans un mauvais pas, dans une situation où on a perdu pied, perdu le contrôle. Une situation où les choses ne se passent pas, ne se passent plus comme on avait prévu dans notre vie. Comprendre comment on peut en arriver là. Dans l’impasse. Dans la dèche. Celle qui mène à l’aide sociale.

    Comprendre qu’il y a des parcours de vie, des tournants qui peuvent nous placer devant l’absence d’un autre choix, d’une autre voie, d’une autre issue pour pallier, tant bien que mal, au manque criant de ressources financières. Comprendre aussi – surtout – que ça pourrait être nous, la personne placée dans cette impasse. La personne qui complète son formulaire de demande de prestations d’aide sociale … parce qu’il n’y a plus d’autre choix.

    C’est un peu l’idée de départ de cette vidéo diffusée dans le cadre de la 45e Semaine de la dignité des personnes assistées sociales qui a lieu cette année du 7 au 11 mai. Réalisée par un groupe d’étudiantes du programme Techniques de travail social du Cégep régional de Lanaudière à Terrebonne, dans le cadre de leur cours Intervention communautaire, cette vidéo vise à éveiller et à nourrir l’empathie de la population envers les personnes qui sont prestataires de l’aide sociale. Elle y parvient en suscitant une prise de conscience face aux probabilités de tomber nous-mêmes en situation de pauvreté au cours de notre vie. À partir de l’outil « Êtes-vous à l’abri de la pauvreté ? » un questionnaire introspectif en lien avec le niveau de vie et le statut social élaboré par le Collectif d’action contre la pauvreté de la MRC des Sources, qu’on peut trouver sur le site 100PRÉJUGÉS.COM, les étudiantes ont interpellé des citoyen.ne.s qui ont bien voulu se prêter au jeu de cette introspection et de cette prise de conscience sous l’œil de la caméra.

    Tous les citoyens et toutes les citoyennes sont invité.e.s à se rendre sur la page Facebook de l’Action Populaire des Moulins pour visionner et partager cette vidéo sur leurs réseaux sociaux.

     

    La semaine de la dignité des personnes assistées sociales a été initiée il y a 45 ans par le Front commun des personnes assistées sociales pour faire reconnaître la dignité de chaque être humain, quel que soit son statut social ou économique.

     

    -30-

     

    Pour information :   Johanne St-Denis, Coordonnatrice

    Téléphone : 450 477-8985

    Courriel : action.populaire@videotron.ca

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    La pauvreté dans Lanaudière : En parler pour agir !

    Communiqué de presse

    Pour publication immédiate

     

    Joliette, 4 mai 2018,

    Titre : « La pauvreté dans Lanaudière : En parler pour agir! »

    Le mardi 22 mai 2018. Le Collectif anti-pauvreté Lanaudière tiendra une journée de réflexion sur le thème de la pauvreté intitulée « La pauvreté dans Lanaudière : En parler pour agir! ».

    Dans le cadre des élections provinciales à venir cette automne, le Collectif anti-Pauvreté Lanaudière a décidé de consulter les citoyennes et citoyens, groupes communautaires et organisations afin de connaître leurs préoccupations et ce qui pourraient être fait pour lutter contre la pauvreté et améliorer la situation des personnes en situations de pauvreté dans Lanaudière.

    Pour ce faire, la journée visent à atteindre les objectifs suivants:

    • Faire un portrait des enjeux reliés à la pauvreté au Québec, mais plus spécifiquement dans Lanaudière.

      • Favoriser la prise de parole des personnes en situation de pauvreté afin de connaître leur point de vue concernant ces enjeux et leurs préoccupations.

      •    Identifier des actions concrètes (sous forme de recommandations/revendications) pouvant être réalisées, afin d’interpeller les partis politiques lors des prochaines élections, mais aussi d’autres interlocuteurs en position d’influence dans Lanaudière pour agir dans le sens de ses recommandations/ revendications.


    Informations complémentaires :

    Nous rappellerons au fur et à mesure et  dans la semaine précédent l’événement les personnes pour savoir si elles sont végétariennes, si elles ont des allergies pour les repas de type « boite à lunch » (qui sont gratuits) et pour confirmer leur présence.

    Veuillez prendre note que le nombre de participant.e.s est limité à 50.

    Nous payons le covoiturage pour un véhicule par MRC (6 véhicules en tout) pour transporter un minimum 3 personnes en situation de pauvreté par véhicule. Premier rendu-premier servi. S’il nous reste des transports de disponible dans la semaine précédent l’événement, nous l’offrirons à d’autres peut importe le secteur. Le CAP-L rembourse à 40 cent du km. Une carte du lieu est jointe aussi pour ceux et celles qui si rendront par eux-même.


    Vous trouverez joint à ce communiqué une affiche contenant le déroulement de la journée et une autre affiche contenant et les renseignements pour s’inscrire.

    La rencontre se tiendra à la CSN Construction au 190, rue Montcalm à Joliette de 9h à 16h.

     

    – 30 –

     

    Pour des questions ou pour une entrevue, contactez M. Sylvain Caron, responsable de l’information et des communications au Groupe d’information et de défense des droits sociaux de Sainte-Julienne (GIDDS), Organisme communautaire membre du CAP-Lanaudière au 450-865-8565. Merci de diffuser.

     

     

     

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    Le travail, pas à n’importe quel prix !

    (Joliette, le 1er mai 2017) Le Conseil central de Lanaudière-CSN ainsi que le Mouvement d’éducation populaire autonome de Lanaudière (MÉPAL) ont souligné la Journée internationale des travailleuses et des travailleurs dont le thème de cette année est  Le travail, pas à n’importe quel prix. À Joliette, syndicats et groupes communautaires ont participé à un atelier d’éducation populaire sur la question de la hausse du salaire minimum à 15$/h.

    À l’instar des nombreux groupes sociaux qui soutiennent la Campagne 5-10-15 partout au Québec, le Conseil central de Lanaudière et le MÉPAL profitent du 1er mai pour réitérer la nécessité d’améliorer les conditions minimales des travailleuses et des travailleurs en portant trois revendications majeures.

    Tout d’abord, le relèvement du salaire minimum au taux de 15 dollars l’heure. Plus d’un million de salarié-es gagnent moins que cela. « Le salaire minimum est beaucoup trop bas actuellement. Il n’assure pas aux familles des conditions de vie décentes. Beaucoup de mythes circulent quant à l’impact d’une telle hausse sur les prix à la consommation. C’est oublier que les salaires sont une part seulement des coûts d’une entreprise de fabrication ou de services. Toutes les études sérieuses montrent qu’une hausse bien encadrée aura un effet positif sur l’économie, car ces travailleuses et ces travailleurs ont besoin de cet argent qui sera immédiatement réintroduit dans l’économie locale par l’achat de nouveaux biens et services », explique Patricia Rivest, vice-présidente du Conseil central de Lanaudière-CSN.

    Pour Mylène Geoffroy, coordonnatrice au MÉPAL, augmenter le salaire minimum à 15 $ constitue un moyen efficace de lutter contre la pauvreté, particulièrement pour les femmes qui représentent 57 % des personnes gagnant moins de 15$/h. « À côté des programmes sociaux, essentiels dans notre société, le salaire minimum constitue une autre politique sociale qui permet de redistribuer la richesse sans que cela engendre des coûts supplémentaires pour l’État et l’ensemble des contribuables.  Ça nous apparaît un moyen évident de responsabiliser les entreprises » rappelle-t-elle.

    Outre une augmentation substantielle du salaire minimum, deux autres mesures devraient être incluses dans les normes du travail pour améliorer les conditions des salarié-es : le droit à recevoir son horaire de travail au moins cinq jours d’avance et le droit à 10 jours de congé payés par année pour cause de maladie ou de responsabilités familiales. « Ce sont des modifications qui auront au final peu d’impact sur l’organisation des entreprises tout en permettant aux salarié-es de mieux concilier leurs obligations familiales et leur travail, une des priorités des travailleuses et des travailleurs d’aujourd’hui », conclue Madame Rivest.

    Le communiqué ici.
    Le tract à imprimer ici.

     

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    1er mai – 15$ minimum – École dans la rue

    Pour la Journée internationale des travailleurs et des travailleuses, le Conseil central de Lanaudière-CSN et le Mouvement d’éducation populaire autonome de Lanaudière (MÉPAL) vous invite à un 1er mai d’éducation populaire sur le thème du salaire minimum à 15 $.
    Parce que le respect des droits et la dignité de tous les travailleurs et de toutes les travailleuses passent par nos luttes, solidarisons-nous !

    9 h : Atelier d’éducation populaire « Toute la lumière sur le salaire minimum »
    (Inscriptions à la CSN)

    12 h à 13 h : Écoles dans la rue, pour déjouer les mythes entourant l’augmentation du salaire minimum à 15 $ (Rendez-vous devant le Cégep de Joliette) Pour plus d’infos: info@mepal.net Bienvenue à toutes et à tous !

    Pour les inscriptions, contactez la CSN :
    Téléphone : 1-888-759-0762
    Télécopieur : (450) 759-3234
    reception.cclanaudiere@csn.qc.ca

    Évènement Facebook : https://www.facebook.com/events/244976472635101/

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    Lutte à la pauvreté – LE SALAIRE MINIMUM À 15$/H NE SERA PAS UNE « BOMBE ATOMIQUE » !

    (Joliette, le 5 décembre 2016) – Dans le cadre de la Campagne nationale 5-10-15 qui revendique notamment l’augmentation du salaire minimum à 15 $, deux conférences publiques sur les impacts d’une éventuelle hausse du salaire minimum ont été présentées à Terrebonne et à Joliette les 23 et 24 novembre derniers. Raphaël Langevin, chercheur associé à l’Institut de recherche et d’informations socioéconomiques (IRIS) et co-auteur de l’étude « Quels seraient les effets réels d’une hausse marquée du salaire minimum ? » y a présenté les conclusions de celle-ci.  Les événements, organisés conjointement par Action dignité Lanaudière, Action populaire des Moulins et du Mouvement d’éducation populaire autonome de Lanaudière (MÉPAL), trois groupes lanaudois de défense collective des droits, ont réuni au total près d’une centaine de citoyen-ne-s de la région qui se sont venus s’informer sur cet enjeu.

    « Il y a beaucoup d’informations, souvent contradictoires, sur cette question-là. Malheureusement, rares sont les occasions pour les citoyen-ne-s de démystifier les tenants et aboutissants des opinions exprimées par les économistes et de se faire une opinion éclairée » explique Mylène Geoffroy, co-organisatrice de l’événement de Joliette.

    La conférence donnée par M. Langevin a ainsi permis d’apporter quelques nuances au débat et d’identifier les impacts plus négatifs d’une hausse du salaire minimum à 15 $, mais également les nombreux impacts positifs. Ainsi, selon l’étude de l’IRIS, des pertes estimées entre 6000 et 20 000 emplois pourraient être observées la première année suivant une augmentation substantielle du salaire minimum, pertes dont les conséquences pourraient être atténuées par la mise en place de politiques ciblées, note M. Langevin. Sur le plan des impacts positifs, il relate une réduction importante de la pauvreté au Québec, une augmentation du pouvoir d’achat qui appuierait la croissance économique et stimulerait l’emploi les années subséquentes à une hausse. Par ailleurs, bien que la hausse du salaire minimum pourrait réduire le nombre de PME créées, on peut penser que celles qui le seraient présenteraient des plans d’affaires plus solides et bénéficieraient de la croissance de la consommation.

    « C’est certain que pour nous, organismes de lutte à la pauvreté, la hausse du salaire minimum nous semble une stratégie efficace pour tout un pan de la population qui travaille à des conditions qui ne permettent pas d’atteindre un niveau de vie minimal, mais ça ne règle pas toute la problématique de la pauvreté ! Il faut aussi assurer aux personnes prestataires de l’aide sociale un revenu suffisant leur permettant de sortir du cercle de la pauvreté » rappelle Jacques Patenaude, co-organsiateur.

    Par ailleurs, le MÉPAL proposera dès cet hiver des ateliers de vulgarisation et de discussions sur les enjeux entourant le salaire minimum s’adressant aux groupes sociaux, mais également à la population en général.  Pour plus d’informations, consulter le site Web du MÉPAL au www.mepal.net. Il est également possible de télécharger l’étude « Quels seraient les effets réels d’une hausse marquée du salaire minimum ? » sur le site de l’IRIS à iris-recherche.qc.ca. Site de la Campagne 5-10-15 : cinqdixquinze.org

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